Charles III en difficulté, que cache vraiment la pression exercée par William ?

Charles III en difficulté, que cache vraiment la pression exercée par William ?

Depuis l’annonce de son cancer, le roi Charles III traverse une période de grande fragilité, marquée par des tensions inédites au sein de la famille royale britannique. Les dissensions avec son fils aîné, le prince William, héritier du trône, alimentent une atmosphère de crispation palpable à Buckingham. Le climat familial semble plus tendu que jamais, alors que la question de la succession s’impose avec acuité.

Le 4 novembre 2025, alors que Charles III procédait à l’anoblissement de David Beckham au château de Windsor, l’absence remarquée de Brooklyn Beckham a rappelé que les conflits familiaux ne se limitent pas à la royauté. Mais c’est bien au sein du clan Windsor que les divisions s’exacerbent, notamment depuis le Megxit et le départ du prince Harry pour les États-Unis. Le souverain de 76 ans, déjà éprouvé par la maladie, doit composer avec des relations distendues et des alliances mouvantes.

Famille royale britannique : tensions, héritage et rivalités internes

Depuis la révélation de son état de santé, Charles III a vu son fils cadet, Harry, manifester le désir d’un rapprochement. Ce geste, loin d’apaiser les tensions, aurait au contraire irrité le prince William. Les blessures du passé, comme la disparition tragique de la princesse Diana, continuent de hanter la famille, rendant toute réconciliation difficile. La succession, plus que jamais, devient un enjeu de pouvoir et de légitimité.

En apparence, le prince William affiche une image de stabilité lors de ses engagements officiels. Pourtant, selon la journaliste Laura Buys dans le documentaire Kate et William : anges ou démons ?, il serait sujet à de véritables « colères noires ». Le duc de Sussex, dans ses mémoires, évoque même un épisode de violence entre les deux frères. Le biographe Robert Jobson, relayé par le Daily Mail, met en lumière une relation père-fils fragilisée par la maladie et les ambitions contrariées.

Charles III refuse d’abdiquer, William sous le feu des critiques

Malgré les recommandations de son entourage, Charles III refuse catégoriquement de réduire ses obligations royales. L’an dernier, inquiet pour la santé de son père, William lui aurait demandé de limiter ses engagements à dix pour le reste de l’année. Le roi aurait sèchement décliné cette suggestion, lançant à son fils : « Réfléchis encore ». Ce refus d’abdiquer ou de céder du terrain alimente les spéculations sur l’avenir de la monarchie.

La tension entre les deux hommes serait telle que, selon Marc Roche, auteur de Ma vie chez les Windsor : les derniers secrets de Buckingham, « Ils se détestent à la limite ». Des membres du personnel royal confient marcher « sur des œufs » en présence de Charles III, réputé difficile à satisfaire en privé. Les tempéraments impulsifs des deux héritiers compliquent davantage la gestion de la crise actuelle.

William accusé de profiter de la maladie du roi, l’image du « Brutus »

Certains observateurs estiment que Charles III mettrait en avant sa complicité avec Kate Middleton, actuellement en rémission, pour contrebalancer l’influence de William. Le prince de Galles, quant à lui, est parfois perçu comme « un Brutus, sorte de régent profitant un peu de la maladie du souverain ». Selon une source citée par le Daily Telegraph, Kate Middleton serait l’une des rares à apaiser les accès de colère de son époux.

Dans ce contexte, la famille royale britannique apparaît plus divisée que jamais, alors que la question de la succession s’invite au cœur des débats. Les jeux de pouvoir, les rivalités et les blessures anciennes continuent de façonner l’avenir de la monarchie.

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