
Soraya Riffy, influenceuse marseillaise de 30 ans, a subi une violente agression à son domicile lors d’un cambriolage survenu vendredi dernier. Hospitalisée après les faits, elle a livré un témoignage bouleversant à la chaîne BFMTV, décrivant la brutalité de l’attaque qu’elle a endurée.
La jeune femme raconte : « J’avais un calibre sur la tête, j’ai pris des coups de tricards dans les mains, j’ai pris de nombreux coups de poing dans le visage, j’ai été défigurée, je pissais le sang », confiant avoir été frappée à plusieurs reprises au visage et dans les mains.
Ligotée par ses agresseurs, Soraya Riffy explique que les liens étaient si serrés que la circulation sanguine dans ses extrémités a été coupée, provoquant un évanouissement. Elle déclare : « Ils m’ont attachée, ligotée et du coup, j’avais les extrémités du corps qui sont devenues bleues parce que c’était trop serré ».
La victime évoque également une perte de conscience et un trou de mémoire concernant une possible agression sexuelle. « J’ai un trou noir, c’est pour ça que je ne sais pas si j’ai été violée », confie-t-elle, encore sous le choc de l’événement.
Son avocat, Me Tom Michel, précise que la jeune femme a été retrouvée couverte de javel, probablement utilisée par les agresseurs pour effacer toute trace ADN. Il a évoqué une suspicion « d’agression sexuelle, voire de viol » lors de son intervention médiatique.
Marquée par cette expérience traumatisante, Soraya Riffy a décidé de prendre ses distances avec les réseaux sociaux. Elle explique : « Je ne veux plus me montrer, je ne suis pas bien », soulignant l’impact psychologique de cette agression.
Ce n’est pas la première fois que Soraya Riffy est victime de violence. Trois mois auparavant, elle avait déjà été agressée par une automobiliste au cours d’une altercation qui lui avait valu une fracture du nez.
Soraya Riffy s’était fait connaître du grand public en 2016 lors de sa participation à l’émission Touche pas à mon poste, où un chroniqueur lui avait embrassé la poitrine sans son consentement, conduisant à une mise en demeure de la chaîne C8 par le CSA.



